La nuit du 31 octobre
Les enfants déguisés, des rires éclatants,
Des bonbons à la clé, un festin captivant.
Des sorcières et des fantômes parcourent les rues,
Sous les lampadaires, les ombres se sont tues.
Mais dans l’ombre, des mystères se trament,
À minuit, les histoires prennent leur drame.
Les portes grincent, les fenêtres claquent,
Les citrouilles illuminées semblent quérir l'attaque.
Un hibou veille, perché sur son arbre noir,
Observant en silence, gardien du soir.
Des araignées tissent leurs toiles dorées,
Sur les toits des maisons où les secrets sont gardés.
Le vent murmure des légendes oubliées,
De monstres anciens, de malédictions cachées.
Dans chaque rue, un frisson parcourt les corps,
Car l’air de la nuit est plus froid encore.